Et si ne rien faire était enfin… la meilleure chose à faire ?
Chaque jour nous courons ! D’une tâche à l’autre, d’une obligation à un objectif, avec cette impression persistante de ne jamais en faire assez.
Mais à force de vouloir tout cocher sur notre to-do list, on s’épuise. Et parfois… on ne fait plus rien du tout. On repousse. On évite. On procrastine.
Et si cette procrastination, si souvent mal vue, avait quelque chose à nous dire ?
Procrastiner, c’est mal ? Pas toujours.
On nous a appris que remettre à plus tard, c’était de la paresse ou un manque de volonté. Pourtant, la procrastination n’est pas un défaut : c’est un signal.
Elle nous parle de surcharge mentale, de fatigue, de manque de clarté… ou tout simplement d’un besoin de ralentir. Elle révèle parfois une tâche qui ne nous inspire pas ou un objectif qui ne nous appartient pas vraiment.
Le paradoxe : tout vouloir faire… pour ne plus rien faire
Plus on se fixe d’attentes, plus le cerveau entre en résistance.
Ce que l’on repousse devient une boule de neige mentale, qui grossit, qui plane au-dessus de nous comme un nuage sombre et qui finit par nous paralyser.
On sait ce qu’on devrait faire, mais on évite. Et plus on évite, plus on culpabilise. Un cercle vicieux s’installe.
Et si “ne rien faire” devenait une vraie stratégie ?
Ralentir n’est pas fuir.
Parfois, s’autoriser à ne rien faire, même quelques minutes, c’est s’offrir un espace de clarté.
C’est dans ces moments de vide que le mental se repose, que l’intuition revient, que l’on peut distinguer ce qui est vraiment important… de ce qui nous encombre.
3 pistes pour apaiser la procrastination sans se juger
Hiérarchisez.
Chaque jour, choisissez 3 tâches maximum à accomplir. Pas plus. Ce qui n’est pas essentiel peut attendre.Créez de vraies pauses.
Des pauses où l’on respire, où l’on se reconnecte à soi. Ce n’est pas du “temps perdu”, c’est du temps réparateur.Faites un petit pas.
Commencez par la version la plus simple de ce que vous repoussez. Juste 5 minutes. Un début, c’est déjà une victoire.
Procrastiner, c’est aussi parfois se protéger
Et si, plutôt que de vous juger, vous écoutiez ce que votre procrastination essaie de vous dire ?
Et si elle révélait un besoin d’espace, de recentrage, de sens ?
Envie d’un accompagnement pour sortir de l’auto-pression ?
Je propose des séances douces et guidées (en visio ou à écouter chez soi), pour vous aider à retrouver un rythme plus juste, plus aligné.
Sophrologie, respiration, hypnose… Des outils simples pour apaiser l’agitation intérieure et faire de la place à l’essentiel.
Et si ne rien faire devenait, enfin, le premier pas vers un mieux-être durable ?